En février dernier, l’ambassadeur sud-africain auprès des BRICS, Anil Sooklal, avait indiqué que plus de 12 pays ont exprimé leur souhait de rejoindre ce groupe. Parmi eux figure l’Algérie, l’Argentine, l’Arabie saoudite et l’Iran.

Le rapport, publié par le cabinet britannique Acorn Macro Consulting, indique que la contribution des « BRICS » au produit intérieur brut mondial s’élève à 31,5%, contre 30,7% pour le G7. En plus le groupe des « BRICS », qui comprend le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud, pèse désormais, dans l’économie mondiale, plus que le G7 qui est composé des USA, Allemagne, Canada, France, Italie, Japon et Royaume-Uni.
Concernant les prévision sur l’avenir, le rapport prévoit une hausse de la contribution des BRICS au PIB mondial au cours des prochaines années, en particulier avec son élargissement à de nouveaux pays.
Le groupe a créé, en 2014, sa propre banque de développement avec un capital initial de 50 milliards de dollars, et un fonds de réserve d’urgence pour soutenir les pays membres du groupe.